L’association

  • Think tank – Plateforme de réflexion et d’échange : l’objectif de TDIE est d’élaborer des propositions au service du développement des systèmes de mobilités multimodaux et durables avec les acteurs des transports, de les soumettre au débat, et de les porter auprès des pouvoirs publics.
  • Association pluraliste, et multimodale : TDIE réunit l’ensemble des acteurs publics et privés des différents modes de transport : gestionnaires de réseaux, exploitants, chargeurs, transporteurs, logisticiens, élus, collectivités locales, entrepreneurs, industriels, experts, ou chercheurs.
  • Un conseil scientifique pour appuyer les réflexions prospectives : les orientations et les propositions portées par TDIE s’appuient sur le travail du conseil scientifique de l’association. Présidé par Michel Savy, économiste des transports, universitaire et expert international, le conseil scientifique contribue à la définition du programme d’activités, encadre les études, assure une veille et conduit une réflexion sur des sujets prospectifs.

TDIE a construit concrètement sa légitimité sur trois approches

  • Une réflexion de fond sur les questions liées au financement des infrastructures et des services de mobilité.
  • Des études, qui mettent en perspective les forces et faiblesses du maillage des réseaux de transport de voyageurs et marchandises, identifient les besoins d’infrastructures complémentaires, d’interconnexion et d’interopérabilité de ces réseaux.
  • Un travail de cartographie des infrastructures a permis à plusieurs reprises à TDIE de contribuer à la préparation des grandes orientations de la politique des transports du gouvernement Français.
L’ensemble de ces travaux, conduit en lien avec le conseil scientifique, associe les adhérents en fonction des sujets abordés. Études, colloques, séminaires contribuent à faire avancer des prises de position sur les grands dossiers : CIADT 2003, création et pérennisation de l’Agence de financement des infrastructures de transport de France (Afit France), Grenelle de l’environnement, Schéma national des infrastructures de transports (Snit), dépénalisation du stationnement, politique européenne, stratégie nationale de la logistique, réflexion sur la compétitivité des ports, décarbonation des transports, etc.

Quels systèmes de transports pour une mobilité durable, demain?

Les termes de l’équation sont multiples, fonctionnels, techniques, économiques, juridiques, organisationnels, et leur combinaison complexe.

Les systèmes de transport incarnent des perspectives considérables de progrès : compétitivité économique, équité sociale, aménagement et désenclavement des territoires, échanges internationaux, développement durable.

Mais le développement des systèmes de mobilité durable est soumis à de multiples défis et contraintes, qu’il s’agisse de la pérennisation des moyens de financement et de programmation, de la mise en œuvre des réglementations techniques, sociales et sanitaires ou du défi de la décarbonation.

Éclairer les choix, accompagner les prises de positions politiques, relayer les questions de prospective, tels sont aujourd’hui les objectifs de TDIE, en prise directe avec ses adhérents, les pouvoirs publics et les élus.

Les adhérents de TDIE : une fédération d’acteurs

La vie de l’association est animée par le Bureau, et le Conseil des Fondateurs et membres partenaires.

  • Le Bureau. Il appuie les co-présidents, en lien avec le Conseil Scientifique, dans la définition des orientations de l’activité. Siègent au Bureau : la Fédération nationale des travaux publics (FNTP), la SNCF, SNCF Réseau, Routes de France, Voies navigables de France (VNF).
  • Le Conseil des fondateurs et membres partenaires. Il fait des propositions d’orientation. Il réunit, autour des membres du bureau : la Fédération des industries ferroviaires (Fif), Île-de-France mobilités, le groupe RATP, Régions de France, le Syndicat des entrepreneurs des voies ferrées de France (SETVF) et l’Union des ports de France.
  • L’Assemblée générale. Elle comprend, en plus des membres du bureau et du conseil des fondateurs l’Agence de financement des infrastructures de transport de France (AFIT France), l’Association française du rail (Afra), l’Association française des gestionnaires d’infrastructures ferroviaires indépendants (Agifi), Alstom, les Autoroutes Paris-Rhin-Rhône (APRR), l’Association des sociétés françaises d’autoroutes et d’ouvrages à péage (Asfa), Construcciones y Auxiliar de Ferrocarriles (Caf), le Comité des constructeurs français d’automobiles (CCFA), le Comité pour la Transalpine Lyon-Turin, le Conseil régional de Bourgogne-Franche-Comté, le Conseil régional de Bretagne, le Conseil régional de Normandie, le Conseil régional de Nouvelle Aquitaine, le Conseil régional des Pays-de-la-Loire, le Conseil régional d’Occitanie, le Conseil régional du Grand Est, le Conseil régional Sud Provence-Alpes-Côte-d’Azur, Egis, les Entreprises fluviales de France (E2F), Euro 21, la Fédération nationale des métiers du stationnement (FNMS), la Fédération nationale de transports de voyageurs (FNTV), Haropa, Kéolis SA, Renault trucks SAS, la Société des autoroutes du Nord et de l’Est de la France (Sanef), l’Union des entreprises transport et logistique de France (TLF), l’Union des aéroports français (UAF), l’Union routière de France (URF), l’Union des transports publics et ferroviaires (UTP),  Vélo & Territoires, Vinci Autoroutes et Vinci Concessions.